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Le plaisir : un besoin inné…

 

La recherche du plaisir est inscrite dans notre besoin "primaire"… Notre "instinct animal" nous pousse vers le plaisir et non pas vers la punition. C’est ce que l’on appelle le circuit de renforcement de la récompense …

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Retrouver confiance en son corps

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Combien de fois vous dites vous :

"Il faut que…", "je devrais peut être…", "Ce serait bien que…"

Vous êtes vous déjà posé(e) en vous demandant :

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De quoi mon corps a besoin ?

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À force de "Il faut, je dois….", combien de fois avez vous remis les changements, combien de fois vous êtes vous senti(e) épuisé(e), avez-vous abandonné ?

Ce n'est pas que vous ayez mal fait les choses !

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Et si nous portions un regard différent ?​

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Un fait intangible : il y a une inégalité métabolique (la tendance à grossir facilement) et on ne guérit pas d’un problème de poids… Le deuil des méthodes miracles est la première étape vers l'acceptation.

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Si vous ressentez le besoin d'un mieux-être, il est possible d'agir...

 

Pourquoi ?​

  - Parce que votre corps ne pourra pas le faire spontanément (le corps cherche à stabiliser le poids, pas à en perdre).

 - Parce que cela touche aux plaisirs et en particulier au plaisir de manger qui fait partie de nos besoins primaires. Évoluer vers un changement peut faire craindre (à tort) que l'on va quitter ce plaisir alimentaire.

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Agir oui, mais pas n'importe comment...

  - Le moteur : votre motivation qui est générée par votre désir de changer... Que voulez-vous voir changer chez vous, près de vous, autour de vous?

Ce point est important à déterminer.

  - Une fois les objectifs définis, de quoi ai-je besoin pour y arriver ? Ce sont ces outils que nous souhaitons vous apporter sur le CeLiObe. Le point majeur est de retrouver le Plaisir... Plaisir de Manger, Plaisir de Bouger.

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Retrouver le plaisir de manger

 

Le plaisir de manger, c’est manger sans avoir l’impression permanente de devoir se restreindre… Sortir de la restriction cognitive.

L’interdit crée le désir… La frustration crée le mal être… Le mal être n’est pas propice au changement mais à l’abandon… C’est le cercle vicieux de la restriction cognitive (schéma ci-joint)

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L’approche comportementale vise, à travers un travail sur les sensations, à retrouver un lien apaisé à l’aliment dans toutes ses composantes et en particulier de plaisir.

Le plaisir de manger, c’est manger sans avoir l’impression de perdre le contrôle…  c’est le paradoxe de la compulsion alimentaire : besoin intense ou urgent de manger dans un contexte émotionnel particulier avec sentiment de ne plus contrôler souvent suivi de culpabilité… Un peu comme si c’était plus fort que moi.

Au CeLiObe, la démarche proposée pour travailler les tendances compulsives dans ses composantes est issue de la thérapie cognitivo-comportementale et/ou de l’hypnose Ericksonienne. Notre histoire, nos apprentissages influencent notre façon d’aborder notre environnement (entourage familial, professionnel etc.). Parfois, notre boîte à outils nous permettant d’aborder les émotions générées par notre environnement n’est pas complète. Ceci peut être générateur de "mal être" et le corps trouve sa solution d’apaisement : manger.

L’accompagnement a pour objectif de mettre en place de nouveaux outils et une nouvelle stratégie. L’hypnose ericksonienne peut ainsi être « un outil permettant au patient d’activer de nouvelles ressources pour aller mieux » comme le disait Miton Erickson.

 

Le plaisir de manger, c’est aussi découvrir de nouvelles préparations, de nouveaux aliments… L’équilibre alimentaire ne rime pas avec monotonie ou contrainte. Ce doit être un plaisir : celui de savourer, de découvrir de nouvelles saveurs, de partager.  Notre rôle est de vous guider vers cette redécouverte.

Plaisir de manger et chirurgie bariatrique

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La chirurgie bariatrique s’adresse à des formes sévères d’obésité. Les trois techniques chirurgicales détaillées dans la rubrique "les chirurgies" s’accompagnent de changements importants du comportement alimentaire.

Cela veut-il dire que l’on ne pourra plus se faire plaisir en mangeant ? Bien sur que non ! Mais un point est certain : les premiers temps après la chirurgie entrainent de nombreux changements !

Au cours d’une préparation à la chirurgie bariatrique, il est naturel de penser "j’en profite avant car après je ne pourrai plus"… Il peut en résulter une prise de poids.

Quel paradoxe ! Ce paradoxe est le reflet d’une crainte : celle de perdre quelque chose que l'on n'aura plus dans l'avenir. Il y a pourtant beaucoup à gagner. Bien souvent, l’image du contrôle du poids est celle de la privation et de la frustration. L’objectif de notre préparation à l’intervention est de vous montrer qu'il n'en est rien. L'objectif est de retrouver le plaisir sans frustration grâce à une prise de conscience des sensations alimentaires.

 

Rien ne sera plus comme avant…

 

Dans les premiers temps, la chirurgie constitue un frein sur la quantité alimentaire, cependant ce frein s'estompe au cours du temps. La chirurgie est une aide vers le changement mais un travail doit être réalisé au préalable pour obtenir un résultat sur le long terme.

La chirurgie comme chemin vers un amaigrissement ne doit pas être vue sous forme d'une limitation du plaisir alimentaire. Cette chirurgie est une aide pour soutenir les changements qui sont progressivement mis en place vers un nouvel équilibre de vie.

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